Salut les enfants, ça faisait un petit moment que je n’avais
pas écrit de chronique à la Kon. Et je dois bien avouer que tout cela ne me
manquait pas, jusqu’à la semaine
dernière, où je m’aperçus que mon compte en banque fondait à vue d’oeil. N’écoutant
que mon courage et les appels de mon banquier, je me rejetais à nouveau dans le
manga qui donne envie de boire de la javel...
Bleach
Si vous n’avez pas suivi les chapitres de la semaine
dernière, tant pis pour vous, je les traiterais peut être plus tard.
Une fois de plus, la bande de bras cassé d’Ichigos (avec
Monsieur J’ai Tout Prévu Kisuke et Pussycat Yoruichi) s’apprête à décoller vers
la dimension zéro, ou royale, je ne suis plus sûr. Pourquoi décollent-ils me
direz vous ? Ben tout simplement car il reste moins d’une demi-douzaine de
méchants à tuer pour une trentaine de gentils (dont une bonne vingtaine aurait
bien besoin d’une victoire) et que va y a avoir du monde au portillon.
C’est alors que débarque un personnage oublié depuis trop
longtemps, dont la dernière et seule victoire remonte à une bataille contre un
efféminé permanenté.
Je suis plus beau que ça en vrai.
La présence de cet individu à la puissance plus que
douteuse (ils ne savent pas encore combien il a pris de power-up hors écran)
est sujette à débat, jusqu’à ce qu’il sorte de son dos une magnifique carte
détaillant leur trajet.
Par souci d’économie de bande passante, la carte est détaille,
mais le chemin, c’est toujours tout droit.
Ichigo s’inquiète ensuite pour Ganju, le combat n’étant pas
aussi simple qu’autrefois. Le rouquin semble donc ignorer que l’homme immortel balançant des pétales de roses
tueuses que le Shiba avait du affronter juste armé d’un hachoir et d’une
bombinette est désormais dans leur camp, et que leurs plus redoutables
adversaires sont des cerveaux en bocal et des catcheurs mexicains.
Fin bref...la bande des charlots des débuts du manga est en
route pour finir de massacrer le scénario.
C'était du temps où on gagnait!
Le groupe en profite pour un instant de nostalgie, nous
rappelant cette époque où on pensait que Bleach était un bon manga, où Inoue n’avait
pas les seins plus gros que la tête, et où les Quincys avaient encore un amour
propre.
Cet instant de pure nostalgie étant retourné, affrontons le
terrible
Car rappelons que le méchant de cette semaine est la
personnification de l’arc actuel. C’est moche, on ne comprend rien, et ça défie
toute logique. Il explique face à ses adversaires que son pouvoir, le vent, lui
permet de détourner toute les attaques tentant de le cibler, en déformant la
réalité. (Je n’en suis pas sûr à 100%, mais en même temps, ce type parle avec
la voix de grominet ! Comment vous voulez que je comprenne ?)
Non ce ne sont pas les power rangers derrière lui.
Notez au passage qu’il a l’amabilité de décrire son pouvoir
histoire que les shinigamis puissent l’éliminer rapidement, ce qui démontre qu’il
doit avoir conscience de l’horreur de son état.
Et même s’il oublie de préciser chaque ligne de son pouvoir,
il est assez gentil pour signaler que toute technique nouvelle contre lui
semble marcher.
Ce qui faisait de lui le choix idéal pour affronter un
adversaire que les quincys n’avaient pas combattus.
La capitaine de la division 0, décide alors de dévoiler ses
redoutables capacités : c’est une cosplayeuse.
Et encore, elle aurait pu utiliser les techniques du Nantô (de vison)...
Pour ceux n’étant pas issu du monde magique des conventions
(ou bien les otakikoolols qui considèrent qu’un t-shirt est un cosplay) le
cosplayers, les vrais, font parti de cette race supérieure, capable de faire un
foutu patron de robe à crino dans du papier toilette !
De même ses compétences lui permettent de coudre le symbole
de la division 0 au niveau des parties génitales de son adversaire ! AHA !
Oui bon, je ris, mais en vérité, coudre ce symbole permet de
transpercer la robe (et le type qui la porte, de milles aiguilles acérées, qui
ignorent le Blut des quincys paske ça fait longtemps qu’on en parle plus.
Et ainsi ce fini le chapitre.
Comme d'habitude. Arrêtez de révéler vos pouvoirs.
« J’aurais pfmieux pfdu pfrester pflanqué pfsous le sol. »
Ps :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire